Intro :
Depuis 1900, la consommation de l’eau a augmenté de dis fois. L’UNESCO a prévu qu’en 2020 l’eau sera un problème mondial sérieux. On peut voir sur la carte des risques de tension forte autour des points d’eau entre différents pays, tel que e Nil, le Danube, le Mékong…
Les ¾ de la terre sont recouverts d’eau, il parait donc démesuré de parler de pénurie de l’eau.
En effet c’est de l’eau salée qui domine ce volume, et uniquement 2.5% sont de l’eau douce, l’eau dont on peut tirer parti. L’eau une ressource malmenée
Cette mauvaise disponibilité en eau n’explique pas à elle seule les défis auxquels nous sommes confrontés aujourd’hui. Plusieurs études montrent que le peu de ressource disponible en eau renouvelable reste suffisant pour survenir aux besoins de l’humanité. A la condition d’en faire une utilisation sage, équilibrés et bien encadrée.
Ce qui est souvent loin d’être le cas, nous avons voir quelques exemples qui montre que l’eau n’est pas toujours utilisé de manière propice.
Irrigation :
L’irrigation est un problème majeur aujourd’hui, elle représente 70 % de la consommation d’eau douce à l’échelle mondiale.
C’est un véritable problème car ça touche directement à l’emploi de centaine de millions d’agriculteur pour qui la récole est le revenu principale.
Cependant Il y a des solutions présentes et connues de tous.
Tel que l’irrigation gravitaire par aspersion, l’eau est envoyée sous pression et retombe en fine pluie artificielle sur les plantes.

Ou encore le goute à goute, appelé aussi « micro-irrigation », ça consiste à n’arroser qu’une fraction du sol, en utilisant de faibles débits d’eau avec de faibles pressions. L’évaporation est freinée.
Ces modes d’irrigation permettent grandement de limiter la consommation d’eau.
Donc il existe des moyens efficaces pour contrôler l’arrosage sans pour autant altérer le besoin des champs. Cependant ces solutions se heurtent à des problèmes de cout, c’est problématique lorsqu’on sait que ce