Géopolitique
Une géopolitique de la Turquie
Examen : questions (de cours ou de recherches personnelles)
Introduction générale :
Une géopolitique ? Par définition : dans la géopolitique (et géographie), il n’y a pas de vérité absolue, soit une relativité de ce qui est énoncé.
Les textes/sources (communes) ne sont jamais objective même si l’auteur recherche/souhaite l’être. Il est influencé par son vécu, son milieu, son époque, par sa perception des choses, de la même manière qu’il y a une relativité géographique : le même évènement, la même réalité, ne sera pas perçu de la même façon selon le lieu d’où on l’observe, mes interprétations différeront.
L’histoire modeste du géographe, c’est l’histoire relativement courte selon les sujets, une histoire en terme de décennies, voir une histoire en terme d’années. Concrètement, il y a des périodes, des phases, des moments géographiques qui vont) durer plus ou moins longtemps avec des moments charnières, des articulations qui sont des passages d’une période/moment à une autre.
Aspect conjoncturel : A un moment donné, pas toujours prévisible, une évolution/médiatisation, un regard plus appuyé se fait jour et ce regard plus appuyé va focaliser l’attention, va générer des débats, va permettre des prises de position, et au final va interférer sur une question/réalité.
La géographie et la géopolitique sont donc modestie, une approche qui n’est pas forcément présente dans les ouvrages car l’auteur met en valeur son interprétation des faits. Elles n’ont pas de prétention avec une science surtout une réalité à un moment donné.
Pour qu’il y ait géopolitique, il faut au moins qu’il y ait des enjeux qui mobilisent (par opposition).
Pourquoi la Turquie ? D’une part : sujet récurent (il y a 6/7 ans) : éventualité de son entrée dans l’Europe, qui fut mise en perspective par la sortie de nombreux ouvrages à ce sujet. D’autre part, sujet d’actualité : moins prégnant que la