L’historien et les mémoire de la GA
Intro :
GA : guerre de décolonisation (1954-1962), Alg devient independante grace aux accords d’Evian.
8 années de combat, extrême violence (terrorisme, torture, repressions) = nombreuses mémoires
(independance + fin de l’empire colonial = traumatisme, 800 000 à 1m rapatriés = Pieds noirs)
Guerre « sans nom » (les evenements) est fracture, tabou
Comment l’historien va-t-il interprêter les mémoires de la GA ?
I)La multiplicité des mémoires, la GA une mémoire difficile (TABLEAU)
Groupe mémorial = groupe porteur d’une mémoire
1999 : reconnaissance officielle de la GA.
1962, fin de la GA laisse place à une occultation de la part des Etats Alg et Frc, aucun consensus possible car il y a des groupes mémoriels avec mémoire diff.
Jusque années 70-80 ? oublie ou refoulement, qqe rare tentatives pr émerger une M sont écartées
EX : 1966, film La bataille d’Alger de Gillo Lontecorvo (cinéaste italien) relate faits historiques censuré en Fr bc « violence de l’armée frc qu’il montre » SCANDALE de l’opinion publique, SUCCES en Alg
19 nov 1997 manifestation des Harkis pour dénoncer leur précarité et ê reconnu par l’Etat frc
La torture dans la République 1972 livre dénonciateur de l’historien Pierre Vidal-Naquet, 1ere tentative de travail historique sur un pdv douloureux, la torture exercée par militaire frc contre militants du FLN et les pops civils
80 : Fin de l’oubli et du refoulement des M, M deviennent objets historiques sans pression GM
II) La GA, un passé dévoilé et assumé ? Une histoire apaisée des mémoires est-elle possible ?
Historiographie = histoire de l’histoire
80-90 demande sociale, frc veulent savoir, connaitre la GA, travaux histo sur M se multiplient
Ex : 1980 GA inscrite dans les programmes scolaire du secondaire
Forte dmd sociale bc par ex, communoté d’immigrés en FR : descendant = GM fait pression pr connaitre leur histoire
La mémoire = identité
Période « réveil des mémoires » M douloureuse pr GM, volonté de reconnaissance