Histoirs des arts
Le "Livre III" du Code minier défini les "Dispositions sociales" notamment les "Conditions de travail et santé et sécurité au travail"4.
Au Canada, le Québec5 et l'Ontario6 possèdent aussi une réglementation sur la santé et sécurité au travail dans le domaine minier. La plupart de leur réglementation étant écrite avec la chair et le sang des travailleurs décédés ou estropiés dans des accidents[évasif].
Avant 1925, le travail de mineur était très difficile et dangereux notamment à cause des coups de poussière, des risques de chute dans des monteries, des éboulis. La plupart des accidents étaient mortels.
À noter, les risques liés à l'explosion de bâtons de dynamite jusqu'à leur remplacement par des explosifs plus puissants et plus faciles à manipuler, comme ceux de la famille des plastics.
Avec l'évolution des machines et engins mécaniques, les travaux sont devenus moins difficiles physiquement et ont diminué les risques. Citons l'apparition des chargeuse-navettes, foreuse à flèches diesel, boulonneuse et foreuse Long-Trou [réf. souhaitée]. Malgré la modernisation, certaines machines comme la foreuse à béquille, foreuse horizontale, chargeuse pneumatique sur rail et sur roue continuent à être utilisées dans plusieurs petites exploitations minière souterraines pour leur faible coût d'exploitation [réf. souhaitée].
La modernisation a augmenté certains risques comme l'écrasement d'un mineur par un engin, les intoxications au CO2 et les coups de chaleurs dans les mines fortement mécanisées [réf. souhaitée]. À noter, l'expansion durant un certain temps[réf. souhaitée] de la silicose, une maladie professionnelle irréversible.
Aujourd'hui les ingénieurs et la direction travaillent énormément pour diminuer ces risques et former et informer les travailleurs sur ces risques et sur les précautions à prendre pour ne pas causer ou être victime d'un accident[évasif].
Les