« Je posais mon œil dans le regard de pierre pour lui faire comprendre que je savais qu'il était jaloux, que cela était honteux. Alors que son père monsieur Roland était excité, pleins de joie, limite enfantin Pierre nous faisait partager sa mauvaise humeur, à laquelle on ne comprenait pas ce comportement cette mauvaise fois vis-à-vis des problèmes de santé de Mr Roland dont Pierre lui interdisait de boire sa coupe de champagne, comme si il nous empêchait a tous d’être heureux. Mr Beausire et moi-même nous essayions de remettre Pierre à sa place et de regagner notre humeur festive a ce repas ou nous étions conviés. Mr Beausire c’était écrié "Ah ! Ces sacrés médecins, toujours les mêmes : ne mangez pas, ne buvez pas, n'aimez pas, et ne dansez pas en rond. Tout ça fait du bobo à petite santé. Eh bien ! J’ai pratiqué tout ça, moi, Monsieur, dans toutes les parties du monde, partout où j'ai pu, et le plus que j'ai pu, et je ne m'en porte pas plus mal." Pierre avait répondu avec aigreur : "D'abord, vous, capitaine, vous êtes plus fort que mon père ; et puis tous les viveurs parlent comme vous jusqu'au jour où... et ils ne reviennent pas le lendemain dire au médecin prudent : "Vous aviez raison, docteur." Quand je vois mon père faire ce qu'il y a de plus mauvais et de plus dangereux pour lui, il est bien naturel que je le prévienne. Je serais un mauvais fils si j'agissais autrement." Mme Roland, désolée, intervenait à son tour : "Voyons, Pierre, qu'est-ce que tu as ? Pour une fois, ça ne lui fera pas de mal. Songe quelle fête pour lui, pour nous. Tu vas gâter tout son plaisir et nous chagriner tous. C'est vilain, ce que tu fais là !" Il murmurait en haussant les épaules : "Qu'il fasse ce qu'il voudra, je l'ai prévenu." Mais le père Roland ne buvait pas. Il regardait son verre, son verre plein de vin lumineux et clair, où l'âme légère, l'âme enivrante s'envolait par petites bulles venues du fond et montant, pressées et rapides, s'évaporer à la surface ; il le regardait