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Cnmpris ? C'csr-à-dirc. cc quc vous failcs rluand vous rcvcnüz de l'École et cc que fonc vos parcnt§ quand ils rentrerrt du travail. Les amis egui tiennent.
Dc quoi ils parlent- Cc qu'ils rliscnt cn rcgarelatt la tôlévision" Tout ce qui "r'ous viendra à I'idée en
toutç liberié. conrmencez D'accord
? Un, deux,
trois
:
!
- ûn peut gornrner, tnonsieur ? clcmanda
- Oui, dit lc capitainc.
- 0n pcut éctile au stylo bilte '/
- Clui, mon garçon. Bicn sûr
*.On
un cnfarrt.
sarls argent- Pedro s'approcha de Jttatr rnurrnura :i I'orcillc :
et
lui
la diciahrre ?
Juan vérjfia où se trouvait lc capiraine et se penclia vers Pedro :
- Bien sûr, idiot,
- Tu es contre
Pedro s'*carta un pcu ct lui adre,ssa un clirr d'oeil, il frt semblaut d'écrire et conrinua
en souriarrt. Puis à I
pcut écrire sur des feuiiles
Tls mirent totis deu;< le crayon dans Ia bouche et regardèrent l'ampouie ôteinie er les ombres sur les mur§, et se sentircnt la tête r.ide colulne unc tirelile
quadriliées,
mottsieur ?
Parfaiternent.
- Comtrien de pages faut-il Écrirc, monsieur ?
* I)cux ou trois.
- Detx ou tr ois I protestèrent les e nfants.
* Bon, rectifia le rnilitaire, unü ou deui. Au iravail
*
lui parier
:
- Mais tu es uü enlant...
- Et alors ?
- IvIa maman m'a dit que les enfânts.".
comrrrençit
Pedro-
*-Ils discnt toujours ça.,. ()n a emmené lnorr papa
I
Les errfants se mirent le crayou entre les dents et commensèrent à regarder au plafond pour voir si l'inspiratiou ailait tornbcr du cisi.
Pedro rnordit son crayor, rnais il n'en (ira pas un mot. Il se gratta le nez et coiia sous sa tâble une çrotte qu'il el sortit par hasard. Juan, au pupitre
dans le rrord.
.* Comme celui dc Daniei.
* ûui.
Fareil.
Pedro regarda la feuille hlanche et lut cç
qu'il avait
ésrit : <i Cc que fait nra fanrillc le soir. Pedro
Malbrân. École Siria. CE2 ».
* Juan, si je gagne la urédaille, -ie la veuds pour" nr'acheter un hallon de fool taille cinq