Inégalité homme femme en france
Le 21 avril 1944, l’ordonnance d’Alger accorde le droit de vote aux femmes françaises. Ceci est un des premiers grand pas dans les droits à l’égalité homme femme.
2 ans après cette loi. Le 27 octobre 1946, le préambule de la constitution proclame : "La loi garantit à la femme, dans tous les domaines, des droits égaux à ceux de l’homme" (art.3) . Cette loi permet aux femmes d’avoir moins de discrimination par exemple dans le domaine professionnel ou la plupart des femmes étaient rabaissées. Elles n’avaient pas accès a certains métiers par exemple : professeur, police… dans cette France très sexiste.
Le 8 juillet 1999 une révision constitutionnelle ajoute à l’article 3 de la Constitution de 1958 la disposition suivante "la loi favorise l’égal accès des femmes et des hommes aux mandats électoraux et aux fonctions électives" et prévoit que les partis doivent "contribuer à la mise en œuvre " de ce principe (art. 4). Cette loi a permit au femme de pouvoir atteindre des rangs politiques jamais atteins auparavant et permettre au femme de pouvoir ainsi diriger le pays de la France.
Le 6 juin 2000 : la loi sur la parité en politique module l’aide publique aux partis politiques en fonction de leur respect de l’application de la parité pour la présentation des candidats aux élections. Mais malgré les réformes et d’évidents progrès, les femmes restent encore minoritaires parmi nos élus (à l’encontre de nombreux pays occidentaux). Si la loi sur la parité a permis de faire élire beaucoup plus de femmes dans les conseils municipaux (35,8 % des conseillers municipaux élus au scrutin de mars 2008) et régionaux (48,3 % de femmes au 31 décembre 2010), celles-ci n’ont pas forcément accédé à des fonctions de responsabilité locale (seulement 14,2 % des maires au 31 décembre 2010). À l’échelon national, on ne compte encore que 18,5 % de femmes à l’Assemblée nationale et 21,8 % au Sénat. De même, dans les entreprises ou dans la