Jules larforgue chanson
Tout d'abord Victor Hugo qui ici nous dénonce l'injustice social de son époque a travers des enfants qui des leurs plus jeune age commence a travailler « ils s'en vont travailler quinze heures », ils dénonce aussi les conséquences de se travail des enfants comme lorsqu'il insiste sur leurs mauvaise santé « que la fièvre maigrit; quelle pâleur ! », leurs fatigue « bien las ; rachitisme ! », leurs conditions de travail qui sont totalement « infâmes » et il dénonce aussi la soumission des enfants il emploie à plusieurs reprises l’adverbe « sous » : « sous des meules », « sous les dents » . Ainsi les enfants ne bénéficiant d'aucune joie et entrant trop tôt dans la vie adulte et qui sont condamnés a oublier la liberté de leur enfance.
Ensuite dans le texte de Charles Baudelaire est dénoncé la différence social, la misère et la pauvreté. En effet il existe un contraste car est premièrement énuméré l'enfant riche et son environnement « Joli château, vaste jardin, enfant beau et frais, la blancheur, frappé par le soleil, si plein de coquetterie » et nous ai ensuite présenté l'enfant pauvre « sale ; chétif; fuligineux ; parias » mais l'enfant riche possédant un joujou des plus beau « joli ; doré ; vêtu d'une robe pourpre ; couvert de plumets » est néanmoins attirer par le joujou du pauvre qui s'avère être un rat. On constate que se texte veut nous démontrer que nous sommes tous égaux ainsi que le bonheur nous sourira si nous le sommes « et les deux enfants se riaient l'un a l'autre fraternellement » même avec ceux plus démunie que nous car la misère et la pauvreté sont également représenté dans se texte.
Dans le texte de Arthur Rimbaud est présenté un vagabond « Je m'en allais » en pleine adolescence qui peut être est un orphelin « Mon unique culotte avait un large trou ». En effet, Rimbaud nous parle d'un adolescent... [à