Tout d’abord, le poète évoque le sens de la vie auquel la notion de guerre ne devrait pas faire partie. En effet, il met en relation la mission pour laquelle il est sur terre et celle-ci n’a pas comme but de tuer toute une société : «Je ne suis pas sur terre Pour tuer des pauvres gens». Dans cet extrait, on constate que le poète met en question la signification de sa vie. Selon lui, tuer des pauvres gens qui sont innocents et qui ne lui veulent pas nécessairement du mal, ne devrait pas être condamné à ce sort. Aussi, il préfère aller mendier dans la rue que de participer à une telle chose qui mène à une destruction fatale : « J'irai sur les chemins
Je mendierai ma vie». Ces deux vers nous démontrent à quel point il est en désaccord avec le fait de faire la guerre. Il aime mieux le fait de se retrouver dans la rue et mendier pour subvenir à ses besoins que de participer à un tel acte. De plus, il démontre que la guerre n’a que des conséquences négatives sur un peuple. En effet, il fait part des sentiments qu’évoque une telle destruction sur une population : « Ma mère a tant souffert Elle est dedans sa tombe». On constate que la mère du poète a traversé beaucoup d’épreuves difficiles, causé par la guerre. Ces derniers ont fait en sorte qu’elle a dû supporter des choses pénibles qui ont fait en sorte de lui faire énormément souffrir. Elle a enduré des moments jusqu’à un tel point qu’elle a fini dans sa tombe. Aussi, le poète démontre l’effet subversif de la guerre : «On m'a volé ma femme On m'a volé mon âme». On constate qu’il a été troublé par le fait qu’on lui a volé sa femme. Il va même jusqu’à mentionner que son amé a été volé en