La bête humaine
Zola veut exprimer le fait que lorsque le point de vue change le monde change également. Pour cela il emploie plusieurs procédés ; au début de son texte « La Bête Humaine » on sait toujours par qui est perçu la gare, le monde parait réel et vraisemblable de plus rien dans l’extrait n’apparait comme quelque chose de terrifiant. A la fin du texte au contraire, Zola emploie le moins possible de verbes de perception, on ne sait donc pas par qui est vu la scène, le lieu nous donne l’impression d’être irréel et le fait que tout devienne inhumain apporte une sensation de peur.
Pour exprimer un contraste entre le début et la fin du livre, et pour montrer que le titre est le reflet du dernier extrait, Zola utilise cela :
Premièrement, on ne sait plus qui parle, qui voit ; les verbes de perception disparaissent.
Deuxièmement le monde de la gare devient inhumain.
Troisièmement Zola inclut dans son texte des éléments du domaine de l’inconnue et qui font donc peur.
Tout d’abord, au début du texte « La Bête Humaine » il y a beaucoup de verbes de perception « il n’apercevait pas », « il vit » de plus on sait toujours qui est le sujet « Roubaud s’intéressa », « elle répondit par un coup bref qu’elle avait compris » ici « elle » désigne la locomotive. Dans la fin du texte au contraire, les seuls verbes de perception présent n’ont pas de sujet défini comme dans « le roulement du monstre échappé s’entendait » ou «A Rouen. On devait prendre l’eau » ici le sujet est remplacé par « on » qui est indéfini. Quand il n’y a pas de sujet, qu’on ne sait pas par qui est vu la scène, le texte paraît tout de suite plus mystérieux, moins on à d’information sur l’extrait plus la peur est présente.
De plus, pour exprimer