La capacité à engager des bénéfices engendre-t-elle l’investissement comme l’affirme les théoriciens libéraux ?

1754 mots 8 pages
Au deuxième trimestre 2010, le taux d'investissement brut des sociétés non financières corrigé des variations saisonnières s’est établi à 19,9% dans l'UE27, contre 19,6% au premier trimestre 2010. Dans la zone euro, le taux d'investissement a été de 20,4% au deuxième trimestre 2010, contre 20,1% au trimestre précédent.
Le taux d'investissement des entreprises a augmenté dans les deux zones, mais reste à des niveaux faibles.
L’investissement est l’engagement de capitaux dans un processus de production et le capital est l’ensemble de bien qui par des détours indirects accroissent la productivité du travail humain.
Il existe trois formes d’investissement : l’investissement de productivité, l’investissement de capacité et l’investissement de remplacement. En suite nous allons pouvoir distinguer des investissements matériels c'est-à-dire des machines par exemples et des investissements immatériels tels les dépenses de recherche-développement, de formation, d’acquisition de logiciel…
Ceci entraine la notion de la rentabilité d’une entreprise. C’est le rapport entre un revenu et le capital engagé pour l’obtenir. Et ce rapport va permettre à l’entreprise d’analyser si elle s’est endettée ou si elle a dégagé du profit.
La capacité à engager des bénéfices engendre-t-elle l’investissement comme l’affirme les théoriciens libéraux ? Ou bien comme l’affirmait Keynes dans les années 30 l’achat de capital technique dépend-il d’autres déterminants ? La rentabilité d’une entreprise est en effet l’un des acteurs principaux de l’investissement.
Tout part de la valeur de la production (quantité produite*prix). En suite en payant les consommations intermédiaires j’obtiens la valeur ajoutée qui va se couper en deux le salaire et le profit. Et ils peuvent influencés la décision d’invertir ou pas.
C’est le taux de marge (EBE*100/VA) qui va influencer car plus il est important, plus l’entreprise pourra investir mais plus les actionnaires seront gourmands, moins

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