La construction
On doit également a Napoléon III l’achèvement du Louvre, l’aménagement de grands espaces vert à Paris, le premier tramway, l’adduction des eaux Parisiennes, l’aménagement des .
Egalement à son compte, l’Empereur a permis l’essor de l’industrie : la production de charbon et de fonte est multipliée par trois, le nombre des hauts-fourneaux est doublée, l’installation des machines à vapeur est multipliée par six ; développement des chemins de fer dans toute la France, du télégraphe électrique, des routes, des canaux et même des ports.
Napoléon III à œuvré largement dans le domaine de la musique, on lui doit encore la création de l’école de musique classique et religieuse de Louis Niedermeyer, en 1853, à Paris. L’Empereur répondit en effet avec empressement à la demande d’aide et de subvention. Il avait adresser aux Archevêques et Evêques de France une lettre annonçant l’ouverture de cette école et précisant ses buts. On relève dans ce document quelques passages admirables:
« La musique religieuse, qui rajoute un si grand éclat aux solennités du culte, a perdu le caractère sacré que lui assignaient ses antiques traditions. Il faut surtout attribuer cette décadence d’écoles spéciales et à l’obligation où l’Eglise est aujourd’hui réduite de demander au théâtre ses chanteurs, ses maîtres de chapelle et ses compositeurs… Le plain-chant, base de la musique religieuse, sera, dans cette Ecole, l’objet d’un soin