En 1847, dans un Paris frivole, le narrateur reçut la visite inattendue d’Armand Duval, un jeune bourgeois, quelques jours suivants une vente des biens de la célèbre courtisane : Marguerite Gautier. Il découvrit l’histoire d’amour prodigieuse entre ce jeune homme et cette fille de joie surnommée la dame aux camélias. L’exorde débuta par leur rencontre lors d’une représentation théâtrale. Le jeune Duval séduit par toute cette vénusté devint vite un de ces soupirants les plus passionnés, mais resta aussi le plus discret. L’hasard a fait en sorte qu’Armand ait fait la connaissance de celle qui deviendrait l’idylle de sa vie une seconde fois durant un banquet somptueux. Armand offrit ces affections à la dame aux camélias qui le considérait désormais comme un amant, lors d’une de ses crises d’hémoptysie à cause de la phtisie dont elle est atteinte. Prête à tout abandonner pour cet amour, cette muse venda tous ces biens dispendieux pour rejoindre son ami de cœur à la campagne. Le père Duval, voyant que cette liaison allait bientôt compromettre le mariage de sa fille avec une famille fortunée, décida d’intervenir au près de Marguerite et lui demanda de quitter son fils malgré leur amour sincère et fidèle. La dame aux camélias avec les larmes aux yeux promettait de rompre tous les liens avec son bien-aimé. Elle décida d’accepter l’offre du comte Varville, un admirateur et retourna à Paris. Furibond, Armand, croyant découvrir une fourberie, se vengea en escortant une autre adulatrice à une soirée que Marguerite y était présente. Peu de temps après, Marguerite, ruinée et éplorée, restait cloué au lit pour les derniers moments de sa vie. Armand découvrit finalement la vérité et acheta un terrain pour y enterrer un amour tant