La fuite des cerveaux
*La représentation et l'utilisation des frontières n'engagent pas la responsabilité de l'OCDE ni n'impliquent de reconnaissance officielle de sa part. Parts de ressortissants d’un pays ayant une instruction universitaire résidant dans un (autre) pays membre de l’OCDE. | Moins de 2 % | | Moins de 5 % | | Moins de 10 % | | Moins de 20 % | | Plus de 20 % | | Non inclus |
On remarque que la comparaison des taux d’émigration des populations hautement qualifiées révèle que les pays ayant un niveau de revenus faibles souffrent de manière disproportionnée de «fuite des cerveaux»). Cependant, les pays en développement pourraient aussi bénéficier de migration de populations hautement qualifiées s’il existait un partenariat entre les pays de provenance des émigrés et les pays d’accueil permettant de rapatrier les compétences et le savoir (circulation des cerveaux). Les infrastructures des pays de provenance sont en effet insuffisantes et les populations sont découragées. Les infrastructures empêchent les émigrants d’exercer leur métier convenablement c’est pour cela qu’ils émigrent, cela leur est bénéfique dans le sens où ils exercent leur métier et acquièrent plus de compétences et d’expérience. De plus leur savoir-faire est profitable s’ils retournent dans leur pays d’origine.
Article : Nous voyons quand dans cet article bien qu’il y ait une constante augmentation en France de la fuite des cerveaux, on remarque que le gouvernement prend des mesures pour que nos chercheurs puissent avoir la