I. Les conditions de travail Au niveau des conditions de travail, la plus part des interviewés s’accordent sur l’utilité d’un système de contrôle ainsi que sur le fait que ce système est à améliorer, mais il ne nient guère les efforts entrepris à cet effet.

Néanmoins, d’autres trouvent que « les conditions de travail au sein de la GENERALE D’INDUSTRIE consiste dans la distribution des équipements de protections individuelle qui n’est qu’un processus de formalité administratif obligatoire » L’analyse de cet axe de réflexion a également relevé que tous les supérieurs hiérarchiques sont conscients de leur rôle et du rôle des autres intervenants dans le processus du contrôle des conditions de travails. Ainsi, il est clair qu’il n’y a pas de confusion de rôle dans la mesure où chacun d’entre eux connaît son champ d’intervention. Mais la question qui se pose est le degré de la mise en œuvre de ce qu’ils savent en la matière. En ce qui concerne l’utilisation de certains équipements, l’outil avec lequel on travail rencontre des difficultés tes que l’ignorance ou encore la négligence.
Quant au salarié, leurs réponses sont assez variées. Il s’agit des réponde qui sous entende une grande confusion dans la perception des pratiques existantes. Cette négligence portes sur les différents équipements (chaussures, casques, gants, …). En effet, 78.13% des salariés estiment les conditions de travail ne sont pas satisfaisante 21.97% ne sont pas au courant des risques qu’il courent avec la négligence.

II. Les relations avec les autres services

A coté des obstacles relevés lors de l’analyse des deux thématiques précédentes, il est possible de dire que le principal handicap selon le directeur Generali est l’absence d’une volonté dans le travail accomplit et d’un manque de communication entre les employés . En effet, cette absence a été citée à maintes reprises. Les interviewés considèrent que les difficultés de communication sont du à « l’absence