La mer d'aral
Principaux arguments qui nous permettent de penser que la mer d'Aral est une mer en voie de disparition:
-l'irrigation En effet, en pompant une trop grosse masse d'eau en provenance des rivières alentour comme par exemple au début des années 60 Les fleuves Amou-Daria et Syr-Daria qui sont détournés pour irriguer les cultures. Elle a abouti à l'assèchement quasi total des sources qui alimentaient la mer. L'irrigation est d'autant plus consommatrice d'eau qu'elle fait l'objet de gaspillages importants (près de 40% en moyenne).
-Conséquences biologiques et biomédicales :
Depuis 2003, la mer d’Aral a perdu approximativement 75% de sa superficie et 90% de son volume. Les quantités gigantesques de pesticides et d’insecticides qui s’étaient déposées au fond du bassin de la Mer d'Aral. Ainsi que le sel laissé par les eaux , se sont retrouvées, au fur et à mesure que l’évaporation progressait, à l’air libre, provoquant le taux de mortalité infantile le plus élevé du monde, les taux de cancers et d’anémies directement reliés à l’exposition par des produits chimiques furent confirmé par l’OMS.
-Catastrophe Ecologique :
De plus, le recours excessif aux produits chimiques a engendré une forte pollution des eaux rejetées dans les rivières, et donc dans la mer d'Aral. Les déchets urbains et industriels ont aggravé la taux de pollution.
Tentative de Sauvetage :
Il y a comme même eu des tentatives de sauvetages comme par exemple : La Banque mondiale qui a décidé de financer la construction du barrage béton de Kok-Aral ainsi qu’une série de digues en vue d’éliminer