La methode clinique armée
Ou la méthode des tests.
I. La clinique armée vs la clinique non armée.
La clinique non armée par des difficultés du sujet, et sur ce que le sujet en dit, c’est-à-dire sur la parole du sujet et sur les observations qui ont été faites au cours d’entretiens. La clinique armée c’est lorsque encore le psychologue doit traiter les problèmes d’un sujet, qu’il ne peut dépasser seul. Le psychologue doit aider à dépasser ces difficultés qui différent de la norme, dans quelle mesures ces difficultés entrainent le sujet dans un fonctionnement différent des autres fonctionnements psychologiques. On va penser le sujet par rapport à un groupe de sujet. Le psychologue a alors comme outils les tests, les échelles, les questionnaires d’où le nom de clinique armée. On n’a pas d’hypothèses a priori qui sont formulé au fur et à mesure des entretiens, et au fur et à mesure des réponses. Cette formulation d’hypothèses progressive s’appelle analyse progressive du comportement individuel. Pour s’aider le psychologue a des ouvrages de référence, des manuels qui ressentent les troubles mentaux.
Il doit faire apparaitre ce qui n’apparaissait pas vraiment lors des entretiens.
Les tests ce sont une situation expérimentale standardisé, servant de stimulus à un comportement et ce comportement est évalué par une comparaison statistique avec celui d’autre individu placé dans la même situation. Ce qui fait que on va pouvoir classer ce sujet examiné soit quantitativement soit typologiquement. C’est standardisé par une tache donné au sujet avec des consignes précises et d’un sujet à l’autre ces consignes sont strictement les mêmes. Avec la neutralité du psychologue il ne doit pas souffler les réponses et le matériel c’est toujours le même, ainsi que le temps de passation. Le type d’analyse est toujours le même – critère de notation. La standardisation est importante car on va s’appuyer sur les réponses du sujet et le comparer avec d’autres