Galouchka Maxime 15/03/2010
6F
N°14

Dissertation :
Il n’est pas de plus grand obstacle à la vie bonne que la crainte.

Tous, avons envie d’atteinte cet objectif qu’est la vie bonne, mais ce concept étant assez utopique et parsemé d’obstacles, tel que la crainte,l’imperfection de l’homme que nous connaissons tous et que nous avons déjà tous éprouvé. Tout d’abord il nécessaire de définir le concept de vie bonne qui a pour but de nous conduire a un état d’équilibre collectif, c’est bien l’idée que chaque homme peut ici et maintenant peut devenir maître de sa vie, c’est une idée sur laquelle tout les philosophes s’entendent bien, mais pour laquelle nous devons faire des concessions. Là nous sous-entendons que l’homme aura comme obligation d’accepter sa condition humaine et vivre en harmonie selon l’ordre du monde sans se révolter contre son destin, mais la encore, les philosophes se querellent sur la façon d’y parvenir. Cette idée est la fondatrice même de la philosophie. C’est cette même question qui est au coeur du débat philo. Et puis vient cette embûche, la peur, la crainte de notre avenir, des autres, de leurs réactions, des consequences de nos actes et celle des autres.

Naturellement, nous sommes amènes à voir les bons et les mauvais cotés de la peur, puisqu’il y a des deux. Dans ce paragraphe, nous aborderons les cotes positifs, ceux qui nous font grandir, ou nous évitent bien des choses. Tel est le cas d’un jeun homme, qui a pour but, de sauter d’une falaise dans les sombres profondeurs qui ce trouvent aux pieds de celui-ci. Il est mort de trouille, il le sera en tout cas si il saute. Mais c’est ici que la crainte intervient. Celle-ci va le faire raisonner et le dissuader de se jeter à l’eau. C’est de cette façon qu’il évitera l’hospital. La peur bien que étant considéré comme négative peut avoir des impacts positifs. Mais à partir du