La bruyère, les caractères , « de l’homme » de l’
Irène a grand espoir, on voit un présent de narration avec un rythme ternaire ce qui rend le récit vivant/dynamique. Le texte oppose 2 mondes, le monde humain et le monde divin plus 2 époques le XVII et l’Antiquité mais cela ne va pas empêcher le dialogue. Irène est LA protagoniste, ce qui est rare dans les Caractère que ce soit une femme. Il y a une antiphrase avec le prénom Irène ce qui signifie la paix en grec, on attend qlq chose de calme et posé ce qui est tout le contraire d’Irène qui est très anxieuse ce qui rend comique. Elle a un espoir dans cette médecine, elle attend de pouvoir se débarrasser de tout ses maux. Longue phrase de la ligne 1 à 11 (style indirect et …afficher plus de contenu…
4 répliques d’Irène, une périphrase fils d’Apollon, une adresse violente, filiation en parlant de son père. Elle perd tout respect « s’écrier », oublie le respect d’une mortel envers un dieu. 3 questions rhétoriques où elle doute de ses capacités médicales du dieu, « fait révérer de toute la terre » allitération en r du respect, elle se moque de dieu (insolente). A la 3e question elle utilise rare et mystérieux car le dieu gardait les remède, il faisait dormir ses patients, les fait boire quelque chose pour qu’ils parlent dans leur sommeil incubation par le sommeil). Elle se prend pour un médecin en utilisant des termes de science, elle s’oppose au terme de remède, elle affaiblit donc le talent du dieu par