La fouleRelisez le début du chapitre XXIV jusqu’à la ligne 7 de la page 250, établissez le plan d’un axe d’analyse, puis rédigez cet axe.Plan1. La foule décrite comme un monstrePreuve 1 : Métaphore l. 18-19 p. 249 « la foule elle-même est un monstre »Preuve 2 : Répétition de la « foule » / négation l. 1-3 « il n’y a pas de foules heureuses. Il n’y a pas de foules paisibles »Preuve 3 : Accumulation l. 3-4 p. 250 « derrière les rires, les sourires, les musiques, les refrains »Preuve 4 : Répétition …afficher plus de contenu…

En répétant et en personnifiant le sang aux lignes 4 à 7 de la page 250, Brodeck insiste sur se sang qui devient fou, comme un humain, et qui va pousser les membres de la foule à faire le mal, parce qu’ils sont noyés dans la masse qui masque les actions individuelles et ouvre la porte à toutes les bassesses, à toutes les horreurs qu’un individu isolé ne ferait jamais : « Moi, je les ai vus les hommes à l’œuvre, lorsqu’ils savent qu’ils ne sont pas seuls ». La foule, par l’anonymat qu’elle procure, devient incontrôlable, dangereuse et donc monstrueuse. La peurRelisez le début du chapitre XXXI jusqu’à la ligne 18 de la page 320, établissez le plan d’un axe d’analyse, puis rédigez cet …afficher plus de contenu…

» Par peur, certains se font du mal, se vident ou renient leurs croyances les plus fortes. Mais la peur a une fonction encore plus nocive, car c’est elle qui transforme des gens normaux en criminels. Selon lui, la peur a plus d’impact sur une personne que la haine ou n’importe quel sentiment pour la pousser vers la méchanceté. Cela est démontré par la comparaison des lignes 10 à 12 de la page 320 : « C’est bien la peur éprouvée par d’autres, beaucoup plus que la haine ou je ne sais quel autre sentiment, qui m’avait transformé en