Le baccaléeurar
Le commerce
Introduction : Le XIXème siècle est une société en émergence bourgeoise, ainsi qu’en pleine révolution industrielle. Les grands magasins parisiens réinventent le commerce dans son ensemble, ils mettent en place les prix affichés sur les produits, ainsi le client et le vendeur ne négocie plus. De plus, ils inventent les périodes de soldes et se servent de l’apparition de la publicité pour attirer la clientèle. Zola s’intéresse aux phénomènes sociaux, industriels et particulièrement commerciaux de son époque (le second empire), c’est pourquoi il décide de consacrer son œuvre Au bonheur des dames sur la naissance et le développement des grands magasins. En effet, le roman relate d’un fait historique, il présente l’ensemble du grand magasin, son organisation, la vente et la clientèle. Ainsi l’économie est omniprésente tout au long de l’histoire.
Le roman se déroule entre 1864 et 1869, Au bonheur des Dames, touche principalement les femmes en proposant pour la première fois la toilette féminine : draperie, soierie, mercerie, dentelles …
Emile Zola, écrivain naturaliste du XIXème siècle, publie en 1883 le onzième volume Des Rougont-Macquart : Au bonheur des dames.
Il serait intéressant de savoir comment le commerce évolue et quelles sont ses conséquences.
Pour cela, nous étudierons dans une première partie par quels moyens le grand commerce prend le dessus pour enfin aborder le petit commerce en faillite.
L’expansion du magasin Au Bonheur des Dames
D’une part, nous pouvons voir que le géant Au Bonheur des Dames possède une esthétique saisissante. En effet, en décorant l’intérieur le magasin construit un univers accueillant, de tranquillité d’où le nom du commerce Au Bonheur des Dames. Les grands magasins jouent donc sur la décoration et la mise en valeur des produits pour ainsi attirer les clients et par conséquent augmenter les ventes. Nous pouvons par exemple l’appuyer par