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DON RODRIG{,E Sorrs moi dbnc cctte troupe s,avance Et porte sur le front une mâle asiurance. Nous partîmes cinq celts; mais, par un prompt renfort, 1â80 Nous nous vîrnes trois mijle en arrivant au port, Tant, à nous voir marcher avec un tel visage,-

nous les i=,, 5::r^ l:r.!l::*: ri .tsI nous lausons courir des ruisseauxpressons sur terre, de leur sang Avant qu'aucun resiste ou reprenne ,* ,*g.. Mais bientôt, malgré oous, i"*s p.io"", lJs rallient;

lês_lahse--Fâsser; rôut-lêur F,tiirîf trtrnCiùtle i Point de soldats au port, poini'aux murs de la ville. -^ i*' i profond silence ulururt -----.- eslïts, -teurs t." J:ot.." plus dourer de nous avoir iurpiis; l'"" JI l,or"lr I r:.-r courent sesans peur, ils ancrenr, ils dèscendent, :r: l-lgf1t irwer aux mains qui les attendent. 1 tevons alors, tous i i_911 ""qJusques au cieletmille en même temps cris éclatants. i".. f9utr95 nôtres, à i."'l;at paraissent, ces cris,.de nos vaisseaux rçondent; armés, les Mores se confoùentil, i jf. L'épouvante.les pread à demi desceudus; i. I êu-.ot que de combattre, ils s,estiment perdus. / , au pillage et rencontrent Ia guenejt [""" f:_:gyuient
_On

Lo reste, dont le nombre augmentait à toute heure, Brtlant d'impatience, autour de moi demeure, Se couche contre tere, ei, sans faire aucun bruit, Passe une bonne part d'une si belle nuit. ?ar mon commandement, la garde en fait'de même, ttto Et, _se ,tenant cachée, aide à mon stratagème; Et je feins hardirnent d'avoir reçu de vous L'ordre qu'on me voit suiyre et que ie donne à tous. Çette obscure clarté qui tombê dès étoiles Enfin avec Ie flux nous fait voir trente voiles; 1r?5 L'onde s'enfle dessous, et d'un commun ' . Les Mores et la mer montentjusques* au effoit port.
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I-:" plry épouvantés reprenaient d.e couragJl J'eq cache les deux tiers, ausqitôt qu'arrivés] Dans le fond des vaisseaux qui lorsro furent trouvés.

sur. t,eau,

A se rendre moi-même en vain je les convie :