De tout temps, l’homme a cherché à améliorer ses performances par des moyens artificiels. En effet, les premières notions de dopage datent de l’Antiquité, de nos jours les sportifs se dopent de manière beaucoup plus fréquente. Une personne est considérée comme « dopée » lorsqu'elle a subit une administration de produit illicite. Les raisons sont variées : amélioration des performances physiques et mentales, dépassement de ses capacités, obligation de résultats que se soit dans le monde du sport que celui du travail. Nous allons donc étudier quelles sont les conséquences du dopage au niveau de la loi et sur l'organisme. La première partie portera sur la loi et la deuxième sur l'organisme.

Le dopage au niveau de la loi :

La loi du 28 juin 1989 (ou loi Bambuck)définit le dopage. D'après cette loi les sportifs n'ont pas le droit d'utiliser des substances et manipulation interdites, les animaux ( chevaux lors de courses hippiques par exemple) sont aussi soumis à cette règle. Il est aussi interdit d'inciter quelqu'un à se doper ou à en faciliter l’utilisation.

La loi « Buffet » a créée le Conseil de prévention et de luttes contre le dopage le 23 mars 1999. Cet organisme a pour but de protéger les sportifs et lutter contre le dopage.

La loi « Lamour » a créée l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD). Cette agence est chargée de mettre en place les contrôles antidopage sur le territoire français et de leur analyse. Elle joue aussi un rôle de police : c'est elle qui sanctionne les sportifs pour leurs infractions. La principale sanction est la suspension, le sportif n'a plus le droit de participer aux compétitions.

Les fédérations peuvent aussi appliquer cette sanction.

La lutte contre le dopage est présente dans chaque région, des intervenants réalise des interventions auprès des sportifs de haut niveau comme auprès des jeunes.

Les conséquences du dopage sur l'organisme :

Les conséquences du dopage sur