Le doute est il favorable a la quête de la vérité
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« Qui ne sait rien ne doute de rien », devenu courante, cette expression regroupe a elle seule le savoir et le doute, ou plutôt l’ignorance et la complaisance en cette ignorance. Donc à l’inverse on pourrait supposer que cette phrase affirme que douter est une preuve de savoir. Pourtant quelque chose sonne faux, dans la conscience commune le doute est synonyme d’hésitation et d’ignorance, donc d’une faiblesse de la pensée mais aussi d’une remise en question personnelle constructive. Quant à savoir si c’est une faiblesse ou non, il y a sûrement un peu des deux. Le doute est-il de l’ignorance ou une remise en question ? L’homme peut-il se passer du doute ? Dans le doute un homme peut il construire sa vie ? Il y a t-il différents types de doutes ? Le doute est-il la seule faiblesse bénéfique ? Ainsi le doute reflète une faiblesse de la pensée ; même si il peut être vu comme une évolution nécessaire ; surtout que le doute n’est pas la seule faiblesse d’esprit bénéfique.
1. Le doute comme faiblesse de la pensée a. L’ignorance (histoire de la philosophie : cultes // préjugés) b. L’hésitation (manque de confiance en soi - sportifs)
2. Le doute comme remise en question constructive a. L’étonnement et la curiosité ( étonnement pousse à curiosité qui pousse à la recherche : policiers, science, Aristote) b. La remise en question (conscience réfléchie et introspection)
3. Les autres faiblesses bénéfiques a. L’échec b. La