Le libre échange est il allé trop loin
Rodrick, Has globalisation gone too far ?
Libre échange : absence de barrières tarifaires et non tarifaires à l’échange de B&S.
[Surtout pas de partie sur la globalisation financière HS !]
I. L’insertion dans les échanges internationaux : des attentes aux promesses déçues
A. Le libre échange : garant d’un accroissement des richesses
1) Un commerce mondial fondé sur l’échange de différence
Echange de productivité
Mercantilistes : jeu à somme nulle. Théorie de la valeur : stock d’or et d’argent dans l’économie. « Ce que l’un perd, l’autre gagne ».
Le commerce mondial peut être un jeu à somme positif (A.Smith). Remet en question la théorie de la valeur. Cause permettant à une éco de produire plus de biens. Le principal facteur de la richesse des nations tient dans la division du travail. La taille du marché est le facteur essentiel de la DT. Le commerce international permet d’augmenter la taille globale du marché et favorise donc la DT. Les pays ont intérêt à s’ouvrir pour se spécialiser. Vient la question dans quoi se spécialiser. A.Smith : avantages absolus. Probleme de cette théorie résolue par les avantages comparatifs de Ricardo. Chaque pays a un secteur où il est plus productif que les autres. Toutes les nations ont un gain au libre échange. Echanges de différence de biens. Donc échanges interbranches.
Comment ces gains vont-ils se partager entre les pays ? Les gains de CI dépendent de la demande mondiale.
Échange de dotation factorielle
HOS. Les pays se spécialisent dans le bien intensif dans le facteur de production le plus abondant. Ce qui amènera Rybczynski a se demander quel sera l’effet sur la spécialisation si il y a évolution de la dotation factorielle. La réponse est oui. Exemple : Corée du Sud.
Samuelson. Conséquences de cette spécialisation sur la rémunération des facteurs ? Stolper Samuelson, égalisation de la rémunération des facteurs.
PVDPDEM
T abondant T rare
K rareK abondant