Le parfum scène finale
On observe un nouveau changement de rythme après l'acte de cannibalisme, lorsque G. a disparus de la surface de la Terre, les cannibales se recentrent autour du feu et reflechissent à leur acte.
B) une scene violente acceleration dans le rythme du roman la scene du meurtre de G. est assez courte (environ un paragraphe), preuve de la rapidité avec laquelle les cannibales ont assouvis leur désir de le toucher. La succession de verbes tels que « lui arrachèrent » L7 ; « le plumèrent » L8 ; « plantèrent » L8 ; « assaillirent » L9 qui font partis du champs lexical de la violence renforcent l'idée de précipitation dans les gestes des malfaiteurs ainsi que dans le récit. un meurtre où l'odorat est banni
La mort de G. est extrémement bien décrite et fait appel aux sens du lecteur comme la vue: « un feu merveilleux » L6 ou « l'éclair des poignards » L13, l'ouïe: « des haches et des couteaux sifflèrent » L14 ou « les os qui craquaient » L15, le toucher: « chacun voulait le toucher » L4 ou « lui arachèrent ses vétements » L7 et le goût: « plein de volupté goulue, se recula pour le dévorer » L18. Mais l'odorat, le sens principal du roman est complétement banni de cet extrait,comme si G, juste avant de mourir pour de bon avait cesser d'exister, lui et son parfum