La critique au siècle des Lumières

1-Critique de la politique

Le régime politique en France était la monarchie absolue, c’est un régime politique dans lequel l'autorité est détenue par le roi , il possède les 3 pouvoirs : judiciaire, législatif et exécutif.

Le pouvoir était centralisé entre les mains des souverains Philippe d'Orléans, de Louis XV et de Louis XVI. Ils étaient soutenus par une classe moyenne, ou bourgeoisie, qui ne voulaient pas être seulement consulté mais ils voulaient aussi gouverner.

Seulement, la situation politique et sociale se modifia en France et ailleurs en Europe en ce début du XVIIIe siècle.

Sur le plan intérieur, la situation financière était devenue catastrophique les rois devinrent faibles.

Les philosophes transformèrent profondément l'ordre politique, ils voulaient plus de justice, d'égalité, de liberté et être gouverné par un homme au service des intérêts de son peuple.

La monarchie ne put alors faire face aux difficultés financières croissantes, qui aboutiront à l'impasse et susciteront le rejet du peuple envers la monarchie.

2- L'Église

Le trait le plus caractéristique du siècle des lumières est bien sur l'attitude critique à l'égard de la religion.

La tutelle sous laquelle vivait les homme avant les Lumières était en tout premier lieu, de nature religieuse. Cependant le siècle des Lumières est une période de réflexion, de pensée, de questionnement, alors de ce fait est établit une remise en cause de la religion. La critique n'est pas porté sur la foi mais sur la superstition, pas sur la religion mais sur l'Église. Les philosophes reprochent à l'église d'avoir freiner le progrès intellectuel.

Quant à Voltaire, Rousseau, Diderot ils ne font pas de l'inexistence de Dieu un dogme. Ils soutiennent même parfois les thèses déistes( reconnaît l'existence d'un Dieu) et fidéistes (Se dit de ceux qui mettent la foi avant la raison). Mais la distinction des deux ordres, foi d'une part, raison de l'autre,