Le symbolisme, le parnasse et le romantisme
Pour le Romantisme Alphonse de Lamartine avec L’isolement, le Symbolisme Charles Baudelaire avec un poème tiré des Fleurs du mal L’invitation au voyage et pour le Parnasse un poème de José-Maria de Heredia qui s’intitule Le coureur.
- Le Romantisme
L’isolement, Alphonse de Lamartine.
Ce poème m’a paru très caractéristique du Romantisme, le poète seul devant la nature décrit des paysages, fait part de ses émotions, on retrouve tout au long du poème ses ressentis par l’emploi de « je », v.2 «tristement je m’assieds » v.19 « je contemple la terre » v.23 « Je parcours tous les points » ou bien de « moi » v.51 - 52 « Et moi, je suis semblable à la feuille flétrie : Emportez-moi comme elle, orageuse aquilons ! » en plus de l’usage répété du « moi » et du « je » il décrit le paysage d’une façon fantastique et imagée v.11 « Le char vaporeux de la reine des ombres » v.45 « Que ne puîs-je, porté sur le char de l’Aurore ». Le poète exprime ses sentiments sans retenu v.2 « tristement » v.17 « mon âme indifférente » v.28 « Nulle part le bonheur ne m’attends ».
Lamartine dans ce poème à ce vers merveilleux qui exprime parfaitement le manque que peut provoquer l’absence d’une personne qui nous est chère « Un seul être vous manque, et tout est dépeuplé ».
Pour conclure ce poème par l’ensemble de ces éléments est représentatif du courant Romantique.
- Le Parnasse
Le Coureur, José-Maria de Heredia. J-M de Heredia décrit dans sa poésie la statue d’airain d’un coureur grec, Ladas. On retrouve les caractéristique du mouvement Parnassien, en opposition au Romantisme le poète ne parle pas de lui ou de ses sentiments, il décrit une sculpture en faisant bien apparaître la beauté de cette dernière, elle paraît vivante v.6-7