Le vistieur
Freud pense que si Dieu était content de ce qu’il a fait, de ce monde-ci, ce serait un drôle de Dieu, un Dieu cruel, un Dieu sournois, un criminel, l’auteur du mal des hommes. S’il y avait un Dieu ça serait le Diable.
Freud ne crois pas en Dieu parce que tout en lui est disposé à croire, parce qu’il voudrait y croire et parce qu’il serait trop heureux d’y croire, mais c’est un désir trop dangereux pour la vérité, il ne faut pas se laisser trahir par des illusions.
Freud accuse dieu de fausses promesses, car le mal c’est la promesse qu’on ne tient pas.
Il soutient que la mort est la promesse de la vie qui court et qui n’est pas tenue. La sensation d’être mortel. Il s’interroge même à savoir si il aurait su qu’il périrait si on ne lui avait pas parlé de la mort.
Le mal c’est donc pour lui la promesse de la vie qui n’est pas tenue.
Une autre promesse non tenue que Freud dénonce est celle de la tendresse qu’il y avait entre une mère et son enfant, tout cette amour qui n’a pas été maintenue et qui s’est transformé en une guerre.
Et finalement la troisième illusion dénoncée par Freud est celle des limites de l’homme.
On croit que l’on va tout comprendre, tout connaître, on se croit capable des rapprochements les plus inouïs et l’esprit nous lâche en route. Cette frustration se résume en la finitude de notre esprit.
A ces accusations Dieu répond :
L’histoire va connaître de nombreuses pestes, qui sont provienne toutes de l’orgueil humain.
D’après dieu il fût un temps ou l’orgueil humain se contentait de défier Dieu. Aujourd’hui il cherche à le remplacer.
L’homme veut devenir maitre,
Maitre de la nature, de la matière, de la politique (totalitarisme & racisme), de la vie (enfant sur catalogue), maitre de son corps (survivre à n’importe quel prix), maitre de la morale, tout cela dans un monde ou dieu devient l’argent et il sera le seul qui subsiste. Cela revient à enlever le sens de la vie.
L’athéisme est une