La cruauté fâce au géni dans Le Parfum de Patrick Süskind.

Florian
Passerel
2012-2013
Daeu Littéraire
Nous allons ici nous pencher sur la cruauté du personnage principal du roman de Patrick Suskïnd Le Parfum, comparé à son géni absolu.

I) Bref présentation de l’histoire II) Résumé de l’histoire III) La cruauté confrontée au géni IV) L’ironie du sort des personnages V) Bibliographie

I) Ce roman, paru en 1985, et écrit par Patrick Süskind raconte le destin hors du commun d’un jeune homme du nom de Jean-Baptiste Grenouille. Son histoire à la fois formidable et tragique se déroule dans un Paris nauséabond, en plein XVIIIème siècle.
La naissance de cet être, est elle-même hors du commun. Ainsi celui-ci naquit dans un tas d’immondices et il survécu à cette puanteur. Sa mère négligeant sa progéniture est condamnée à mort.
Etant donc désormais orphelin, Grenouille se voit donc passer de foyer en foyer jusqu’au jour où Mme Gaillard l’accepte au sein de son orphelinat. Très vite, l’enfant montre des signes évident de capacités olfactives hors du commun.
Ayant désormais l’âge requis, celui-ci est envoyé travaillé auprès d’un maitre tailleur du nom Grimal. Ce travail harassant ne semble pas décourager le jeune Grenouille qui semble être infatigable et complètement docile. Sa servitude lui autorise vite certains privilèges. Ainsi, le jeune homme est autorisé à se balader dans Paris une fois son travail effectué. Là, Grenouille découvre une palette d’odeurs incomparable, fait d’immondices, de fleurs, d’odeurs corporelles. Son cerveau ne fait alors aucune distinction entre une « bonne » et une « mauvaise » odeur. Peu à peu son sens incroyable se dévellope, jusqu’au jour ou il découvre une odeur jusque la inconnue. Une odeur qui lui parait si délicate, si pure qu’il ne peut s’empêcher de savoir d’où celle-ci provient. Il s’avère que cette odeur appartient à une jeune fille russe. Ne connaissant ni le bien, ni le mal Grenouille