Garnica
En premiers lieux je fut étouffé, sidéré et n’en crus plus de mes yeux. Ce que je vis, en fait ce que je ne vis plus me tua; Toute la ville était en feu et était détruite. Mon premier réflexe fut de retrouvé les êtres que je chéris le plus au monde. Ma famille. Tant de débris partout et tant de confusions dans ma tête me fit rester assis dans mon siège d’auto durant cinq minutes. Ensuite je décidai qu’il était mieux de marché pour me rendre à mon point le plutôt possible. Je ne pu passer un coin de rue sans qu’une personne lacérée, ensanglanté et souffrante me supplie de l’aidée. Devant ce spectacle d’horreur je me tu et continuai ma route. Il n’y eut plus de ville mais que des tas de cendres, de briques, de métaux rouillés et de gens souffrants le martyres et attendant une fin imminente. Je passai devant ce qui devait être le reste de l’épicerie de notre quartier, pensant bien qu’il faille surment rationné notre nourriture. Je passai devant le parc, là où tout les enfants du quartier allaient jouer. Le clou du spectacle arriva à ce moment pile. Une dizaine d’enfants brûlés et coupés gisant dans leur propre sang étaient étendue par terre. Parmi eux se trouvait le corps de l’enfant de ma sœur Hélénah. Une peine et une rage se mélangèrent en dedans de moi mais je ne plus réellement cerné l’émotion que je ressentais. Je continuai mes pas et vis non loin du corps de l’enfant, celui de ma sœur.