1) Le choc de la défaite, juin 1940 – juillet 1940 Depuis le 16 juin 1940, le pays sait que la fin des combats est proche et que l’Allemagne est rentrée sur le territoire, ce qui se matérialise par la période de l’exode ou des centaines de milliers de français cherchent à fuir devant l’avancée des troupes allemandes. Le 17 juin 1940, Pétain annonce son intention de demander l’armistice. Pour la population, c’est un choc terrible, …afficher plus de contenu…

La propagande du régime vise ainsi les mesures sociales prises qui ont aboutis à la « paresse » (réforme de 40H, hausse des salaires, …) · Les syndicats disparaissent en particulier les syndicats ouvriers· Les juifs qui sont « responsable du désastre » et l’antisémitisme du régime est totalement assumé dès octobre 1940 avec le premier statut des Juifs demandé par le maréchal Pétain. Le régime cherche à mettre en place une « nouvelle France ». Le maréchal préfère la France rurale des agriculteurs à la rance des villes industrielles et privilégie la France catholique. Une propagande très intense et un culte de la personnalité se mettent en place par radio, affiches et chansons. Se met donc en place un régime qui opte pour la collaboration politique (la France …afficher plus de contenu…

Ces réseaux sont constitués par toutes les composantes du spectre π français auquels s’ajoute le partir communiste dès juin 1941. On y trouve des ouvriers, médecins, et de nombreuses femmes. La population Française subit la domination nazie mais on constate que peu de chose sont faites en dehors du cercle collaborateurs pour faciliter la vie de l’occupant. Il y a ainsi plusieurs formes de résistance : · « Résistance passive » ensemble des actes conduits pour ne pas faciliter l’occupation ou les actions du régime de Vichy · « Résistance active » : action de sabotages, de renseignement, distributions de tracts hostile à l’Allemagne et Vichy, passage de message de la résistance, publication de faux-papiers, journaux clandestins, …Ces éléments ne peuvent fonctionner que