Le portrait dans l'étranger de camille
41-42 / prosopographiePuis premier portrait : M. Arnoux → prosopographie à travers le regard de F. p.44Puis MME ARNOUX p.46, portrait introduit par « ce fut une apparition » et qui se dvp tout au long de l’œuvre, s'achevant de façon parfaitement circulaire à la fin du roman par « et ce fut tout » p.621.→ commence par prosopographie (point de vue de F.) p.47 puis éthopée développée au fil du romanDussardier, par des phrases simples placées ça et là au fil du texte :→ p.83 : « le jeune homme à moustache »Mme Dambreuse : p.161 et 216M. Roque / à travers le point de vue de F. = ironie et moquerie : p.168 « Comme il était petit, sa grande redingote marron exagérait la longueur de son buste. Quand il ôtait sa casquette, on apercevait un visage presque féminin avec un nez extrêmement pointu ; ses cheveux de couleur jaune ressemblaient à une perruque [...] …afficher plus de contenu…
Le personnage de Dussardier, par exemple, rappelle « la physionomie d'un bon chien » (p. 49) ; le facétieux Hussonet contrefait le coq (p. 50) ; la fille de Mme Arnoux se déplace « comme un chat » (p. 64) tandis qu'on trouve chez Louise Roque « une grâce de jeune bête sauvage » (p. 111) et que Mlle Vatnaz joue du piano « comme un cheval qui piaffe » (p. 147). M. Oudry, que Rosanette finira par épouser, porte précisément le nom du « peintre des chiens » (p. 103) et « la bosse des animaux » est « visible sur son front » (p. 103), comme le lui fait remarquer un plaisantin lors d'un dîner chez Arnoux. Selon le même principe burlesque, les conversations féminines font « comme un caquetage d'oiseaux » (p. 183) ou bien ―