Lorsque le terme mondialisation a vu le jour, il s'agissait d'un terme ambigu associé à l'inclusion dans les sphères économiques et culturelles de la vie. Cependant, au fil du temps, non seulement le processus a été plus clairement défini, mais il a largement contribué au climat politique, culturel et économique actuel. Avec la progression du temps, le concept de mondialisation a été plutôt amélioré pour devenir une hypermondialisation. Selon la thèse de l'hyper mondialisation, version savante de ce point de vue, la création d'un marché mondial unique et la concurrence mondiale ont réduit la marge de manœuvre politique des États nationaux et imposé des politiques néolibérales à tous les gouvernements. C'est le fondement du monde d'aujourd'hui. La question se pose alors de savoir en quoi elle est différente de la mondialisation et comment elle affecte notre monde ?

En quoi l'hyper globalisation est-elle différente de la mondialisation ?

Les hyper-mondialistes, également connus sous le nom d'optimistes mondiaux, affirment que les cultures locales sont en train de disparaître en raison de la croissance du capitalisme international et de l'émergence d'une culture mondiale unique et culturellement homogène. Malgré cela, ils assurent que la mondialisation est un concept simple marqué par l'expansion économique, l'augmentation du niveau de vie et la diffusion de la démocratie. D'autre part, la mondialisation est d'avis que de multiples cultures peuvent exister en harmonie et que l'appropriation est la clé de cette solidarité. Selon Thomas Friedman « 2000 », la mondialisation est due à l'adoption généralisée des principes économiques néolibéraux. Selon le néolibéralisme, afin de promouvoir le développement, les gouvernements des pays pauvres doivent supprimer les contraintes qui pèsent sur la libéralisation des échanges et le commerce. Les gouvernements devraient se contenter de favoriser un environnement propice aux affaires qui permette aux entreprises « tant