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Lecture analytique. en quoi s'agit-il d'une scène de dénouement traditionnelle ?

650 mots 3 pages
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o Question : En quoi s'agit-il d'une scène de dénouement traditionnelle ?
Définition d'une scène de dénouement : C'est la scène finale d'une pièce de théâtre dans laquelle la solution de l'intrigue initiale est donnée. Le dénouement est le moment où le nœud dramatique qui s'est créé tout au long de la pièce se dénouent, en présence de tous les personnages. o Présentation de la pièce : L'École des femmes est une comédie de Molière en cinq actes. Arnolphe, aussi appelé M. de La Souche, est un homme d’âge mûr qui aimerait jouir du bonheur conjugal, mais il est hanté par la crainte d’être trompé par une femme. Aussi a-t-il décidé d’épouser sa pupille Agnès, élevée dans l’ignorance, recluse dans un couvent. Horace, fils d’Oronte (un autre ami d’Arnolphe), est tombé amoureux d’Agnès au premier regard ; il se confie à Arnolphe dont il ignore le rôle de tuteur, lui avouant qu’il a fait sa cour.
Principales caractéristiques de cette scène :
- Récit de Chrysalde et Oronte sur le passé d'Agnès.
- Nombreuses résolutions de problèmes, quiproquo etc...
- Déchéance et fuite d'Arnolphe.
- Agnès et Horace enfin ensemble o 1) Résolution du nœud dramatique.

- Horace connait maintenant la véritable identité du prétendu Mr de la Souche et d'Arnolphe.
- Quiproquo entre Arnolphe et Oronte/Chrysalde sur le mariage d'Agnès résolu.
- Agnès et Horace peuvent enfin vivre ensemble.
→ Solution apporté grâce au DEUS EX MACHINA en la personne de Enrique, qui, par sa volonté de marier sa fille avec Horace, permet aux deux amants de pouvoir rester ensemble.
- Chrysalde affirme, pour Arnolphe, que s'il veut tant ne pas être cocu, la meilleure solution est de ne pas se marier (v. 1762/1763)
- Fin sur l'annonce d'un mariage qui contente le spectateur et conclu la pièce d'une façon plutôt traditionnelle et fréquente chez Molière. o 2) Évolution des personnages.
- Le mystère d'Enrique et d'Agnès est levé
L'identité d'Agnès est mise à jour par le récit d'éléments du passé narré par

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    → Quelles sont les conceptions du mariage et de la femme présentées par Arnolphe ? Les conceptions des femmes présentées par Arnolphe est que les femmes ne doivent pas tromper leurs maris, elles doivent leur obéir, elles ne doivent pas attirer les autres personnes ni se parer « elles ne doivent plaire à personne », il faut que les autres la trouve laide et qu'elles ne plaisent qu'à leurs maris « elle ne doit se parer, qu'autant que peut la désirer, le mari qui la possède. C'est celui qui touche seul le soin de sa beauté, et pour rien doit être compté, que les autres la trouvent laide » ; ne doivent pas se faire belles, elles doivent s'habiller comme le désire leurs maris, ne pas sortir de chez elles, ne doivent recevoir personne « Hors ceux dont au mari la visite se rendent la bonne règle défend de recevoir aucune âme », elle doit recevoir des présents des hommes, elles ne doivent pas écrire, ne doivent pas corrompre les esprits « Des femmes, tous les jours, corrompent les esprits. En bonne politique, on les doit interdire », elles ne doivent pas se consacrer au jeu « Toute femme, qui veut à l'honneur se vouer, doit se défendre de jouer », elles ne doivent pas de promener seules ou manger des repas dans des champs «….

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  • La loredier davidoni
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  • Guernica - pablo picasso
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    2) Contexte historique de Guernica Pablo PICASSO peint cette œuvre dans un contexte de guerre civile en Espagne, entre 1936 et 1939. Cette guerre oppose les républicains aux nationalistes dirigés par le dictateur FRANCO. Cette peinture évoque le bombardement par les avions allemands le 26 avril 1937 de la petite ville basque de Guernica tenus par les républicains alors en conflit avec les nationalistes franquistes alliés à l’Allemagne nazie.….

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    Candide au XXIe siècle Quand Candide et Cacambo sortirent du métro parisien il faisait très froid. Des volutes de buée sortaient régulièrement de la boule de la foule. Celle-ci, enfermé dans sa bulle était inconsciente de ses voisins. Elle vivait seule, pressée, obnubilée par cette sensation que le temps s’écoule toujours plus vite emportant les quelques retardataires qui ne suivaient pas son rythme, LE rythme. Les deux étrangers errèrent sans but précis, bousculée par la foule toujours aveugle.….

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    Quoiqu'on soit femme, il faut parfois qu'on lise Dans le latin, qu'on épelle en rêvant ; Pour lui traduire un verset, à l'église, Je me penchais sur son livre souvent. Un ange ouvrait sur nous son aile blanche, Quand nous étions à vêpres le dimanche. Elle disait de moi : C'est un enfant !….

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    Le comique de l’Ecole des femmes réside, tout d’abord, en son scénario. Il se constitue de plusieurs éléments. Nous observons que l’œuvre est basée sur un long quiproquo, s’étendant sur toute la longueur de cette dernière. En effet, Horace, personnage convoitant Agnès, se confie à monsieur de la Souche qui n’est autre qu’Arnolphe, faux bourgeois voulant prendre Agnès pour épouse (il parle d’ailleurs de monsieur de la Souche à Arnolphe dans la quatrième scène du premier acte, l’insultant par la même occasion : « C'est, je crois, de la Zousse, ou Souche, qu'on le nomme »).….

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  • Lecture analytique d’un extrait de « l’ecole des femmes », acte 4, scène 6
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    Devoir 5 : lecture analytique d’un extrait de « l’Ecole des Femmes », acte 4, scène 6 Introduction Jean-Baptiste Poquelin dit Molière (1622-1673), grand auteur de comédies et homme de théâtre, écrit « L’école des femmes » en 1662. C’est une comédie psychologique basée sur l’opposition entre un jeune prétendant sympathique et un tuteur âgé et jaloux : tous les deux veulent épouser la même jeune fille. Au cours de la pièce une jeune fille naïve découvre l’amour et apprend à ruser pour finir par épouser celui qu’elle veut. L’intrigue est pleine de rebondissements. Le principal ressort comique est le quiproquo à propos de l’identité d’Arnolphe :….

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