Lecture analytique ronsard, dernier versus versus, 1586
Les os, un squelette : 2 mots sont mis en évidence et évoque de manière réaliste la mort, la mort imminente « je » qui court tout au long du texte, anaphore, vision subjective de la réalité qui s’empare du poète Examen de lui-même « je semble » Vers n°1 : coupe à l’hémisticheVers n°2 : énumération de plusieurs participe passé formant adjectif ici, tous constitués du même préfixe négatif « dé ». L’auteur souligne du grand dépouillement auquel la mort le soumet, par les participes passés. La mort imminente. Là encore les participes passés sont d’un grand réalisme, composant du corps humain « …afficher plus de contenu…
« et son fils » qui appartient surement aussi à une mythologie Asclépios Dieu de la médecine et fils d’Apollon. En incise, apposition « 2 grands maîtres ensemble, ne me sauraient guéri » ; elle sort à les qualifier de maîtres pour les mettre en avant, leurs talents et leurs compétences qui viennent s’opposer au destin, à la mort qui sont plus forts que ses divinités qui s’incarne dans son corps décharné. Vers n°2 : négation « ne me serait guérie » qui dit que les deux divinités ne peuvent s’affronter à la mort : donc impuissance des divinités face aux sorts qui est réservé à Ronsard. « Leur métier m’a trompé » : comptait sur l’art médical pour se sauver d’un mauvais pas, chacun à un métier différent (Apollon et Asclépios) : trompé décevoir, m’ont déçu. Art poétique sera elle aussi impuissante à le sauver de