Les altermondialistes
Alors que se déroulait il y a une semaine le G20 regroupant les 20 pays les plus riches et émergents du monde dont la France a également récupéré la présidence, les altermondialistes ont encore eu l’occasion d’exprimer leur désaccord sous forme de manifestations face à cette libéralisation sans limite du monde.
Les politiques néolibérales et les mouvements altermondialistes. Ainsi ces concepts peuvent se définir de la manière suivante
Tout d’abord les politiques néolibérales sont des politiques actuelles ayant une connotation péjorative désignant tout à la fois une idéologie, une vision du monde, des modes de gouvernement, des théories marquant un renouveau et une radicalisation du libéralisme sous forme actuelle du capitalisme.
Le mouvement altermondialiste est un mouvement social hétérogène de contestation de la mondialisation et du capitalisme qui revendique un ensemble de valeurs humanistes (comme la démocratie, la justice économique, l'autonomie des peuples, la protection de l'environnement et les droits humains fondamentaux).En France, ceux qui font partis du mouvement sont en général, les communistes mais ce n'est pas parce qu'on est communiste que l'on appartient forcement au mouvement, il-y-a également les anti-libéraux et les nationalistes avec les partis d'extrême droite.
La naissance du néolibéralisme s’est faite progressivement.
En effet, tout a commencé lorsque Walter Lippmann a opéré une critique du libéralisme classique foncièrement conservateur dans son ouvrage « La Cité Libre » , tout en affirmant que le marché « est le seul moyen possible de réaliser sous forme de travail utile la synthèse d’un travail divisé analytiquement ». Il opposait le libéralisme « la ligne de conduite qui cherche à réformer l’ordre social pour satisfaire les besoins et réaliser les promesses d’un mode de production basé sur la division du travail » au collectivisme « la ligne de conduite qui