Les aventure d'haroun al-rashid.
Shérazad :-Sire, un jour comme vous l’avez peut-être était vous-même, je suis d’une humeur profondément triste .Je ne voulais ni entendre personne.
Dinazade :Ah ! J’aime les histoires du sultan Haroun-al-Rashid et de son vizir Giafar.
-Sharirar :-Laisser raconter votre sœur ! Je n’ai pas beaucoup de temps !
-Donc
Giafar : « -Commandeur des croyants, VotreMajesté, d’où vous vient cette tristesse si inhabituelle ? Giafar Je suis sans envie, c’estvrai, et s’il n’y a rien de spécial qui ta fait venir, je te serai d’inventer quelque chose pour me faire passer cette peine si inutile.
Giafar : Mais justement, sire, c’est aujourd’hui le jour que vous vous étiez fixé pour aller par votre capitale vérifier la bonne police que vous voulez y voir régner voici qui chassera votre ennui !
CalifHaroun al-Rashid:-Ah! Oui ! Je l’avais oublié ! Allons de se pas nous revêtir d’habits de marchands étranger et filons par la porte secrété du jardin.
Ils se retrouvèrent en dehors de la ville et firent le tour des remparts.
-Rien d’anormal jusqu’ici dans tous ce que nous avons vu, Mes sujets ont l’air de se comporter fort correctement ! Croit-tu que cette fois nous trouvions un cadavre sous le pont ?
Giafar :- Hum, qui m’apprécie pas trop qu’on lui remémore cette méchante histoire, je vois, Sire, que vous avez retrouvez tout votre humour !
Calif Haroun al-Rashid:-Ah! Voici un vieillard aveugle qui fait l’aumône .Il a de la chance, J’ais emporter quelque pièces d’or !
Et lui en mis une dans les mains.
L’aveugle :-Charitable personne, qui que vous soyez, ne me refusez pas la faveur de me donner un soufflet ! Je l’ai mérité, et même pire châtiment encore !
Et il attrapa le calife par sa robe, pour qu’il ne s’en aille pas.
Calife :-Mais, lâchez-moi et je me garderais bien de t’infliger ce mauvais ce mauvais traitement qui annulerait le bien fait de mon aumône !
L’aveugle :-Seigneur, donnez-moi je vous en prie, un soufflet, ou bien