Les choses, de Georges Perec (1965)

Biographie:
Georges Peretz est est un écrivain et verbicruciste français né le 7 mars 1936 à Paris. Ses parents étaient des Polonais d’origine juive dont ils ont été des victimes de la seconde guerre mondiale : son père y meurt et sa mère est envoyer dans le camp de concentration d’Auschwitz-Birkenau. Heureusement pour lui sa mère l’envoie dans un train de la Croix-Rouge pour le sauver. Son nom se francise et passe de Peretz à Perec. En 1945, quand la guerre se termine, il est alors adopté par sa tante Esther, sœur de son père.
En 1954 il commence des études d’histoire, mais il abandonne rapidement pour s’engager dans une filière de Psychanalyse. Aussi de 1958 à 1959 il va faire son service militaire à Pau, dans un régiment de parachutistes. En 1960, il se marie avec Paulette Pétras, puis il partent à Sfax, en Tunisie, pour revenir l’année suivante. À partir de 1962 il deviendra documentaliste en neurophysiologie au CNRS.(Centre National de la Recherche Scientifique)
En 1965 il remporte le prix Renaudot avec le roman Les Choses puis en 1967 il entre à l’OuLiPo, qui va marquer un point d’importance. Ses textes suivront des contraintes de type oulipienne. Il fera alors équipe avec Raymond Queneau et l’italien Italo Calvino. En 1976, il publie des mots croisés dans le journal Le point. En 1978, il publie La vie mode d’emploi et face au succès de cette œuvre il quitte son emploi au CNRS afin de se consacrer entièrement à l’écriture. Il mourra d’un cancer le 3 mars 1982 à l’hôpital d’Ivry-sur-Seine.
Ces œuvres les plus importantes furent: La disparition, 1969 Les choses, une histoire des années soixante, 1965 La boutique observe, 1973 Espèces d’espaces, 1974 W ou le souvenir d’enfance, 1975

Présentation du titre Les choses et de son sous-titre:
Les choses (sous-titré: Une histoire des années 60) explore une illusion. Une illusion où séduction et dégoût sont facilement mêlées. Une illusion qui