Tout d’abord, Victor Hugo perdit une partie de sa vertu religieuse, à la suite de la perte de sa fille bien aimée. Puisque, sa colère l’amène à se révolter contre Dieu : « Ces clartés, jour d’une autre sphère, Ô Dieu jaloux, tu nous les vends! Pourquoi m’as-tu pris la lumière que j’avais parmi les vivants? »D’ailleurs, La « Clarté » qui signifie le bonheur dans sa vie. Monsieur Hugo affirme être très furieux contre dieu. En raison que Dieu lui a envoyé un grand bonheur dans sa vie, qui est sa fille, pour au finale, lui reprendre. Ainsi, il accuse Dieu d’avoir commis cette action sous le comble de la jalousie. De plus, cette colère lui amènes un sentiment de révolte contre Dieu. À cause de son sentiment de trahison envers Dieu, il se remet en question : « Deux joueurs effrayants apparaissaient dans l’ombre. Qui craindre? Qui prier? » Les deux individu en question est Dieu et Lucifer. Également, ils sont comparés comme des « joueurs effrayants ». Il remet en question le bien et le mal, car Dieu n’a pas empêché sa souffrance et se demande s’il a vraiment des bonnes intentions envers lui. Bref, le tragique événement amène à perdre toute estime de la religion.
De plus, le comportement de Victor Hugo illustre qu’il serait en état dépressif. D’une part, Il accordait une trop grande importance à sa fille, car il oubliait de vivre : « C’était l’enfant de mon aurore, Et mon étoile du matin! » et « Je n’étais jamais gai quand je la sentais triste ; J’étais morne au milieu du bal le plus joyeux. » Quant à la première citation la jeune fille du poète est décrite comme un « aurore » qui est un lever de soleil. Il a utilisé le lever de soleil pour décrire sa positivité qu’elle lui procurait. De plus, dans la deuxième citation, L’auteur utilise une hyperbole pour évoquer le fait que son attachement était hors du commun, Il ne pouvait pas vivre de bonheurs, si sa fille était triste. D’autre part, Victor Hugo préfère vivre dans le passer que d’affronter la réalité : « Entre