1. Dans une recherche visant à mieux comprendre la réalité socioéconomique d’un groupe de femmes francophones monoparentales à faible revenu de la ville d’Ottawa, Pascale Houle (2003) s’est intéressée, entre autres, aux obstacles à l’intégration du marché du travail de ces femmes. Sur la base des propos recueillis auprès des seize femmes rencontrées par l’auteure, expliquez dans les grandes lignes les différents obstacles nuisant à l’intégration de ces femmes sur le marché du travail..

Sur le plan économique : D'après le statistique Canada , une famille peut se considérer dans la pauvreté quand elle consacre 55 % de son revenue pour son longement, vêtement et nourriture et tel est le cas des familles monaparentales.(Conseil national du bien-etre social 2001) .Leurs principales ressources proviennent des ressources alimentaires, de l aide publique et du peu de revenu d’emploi. Dû à des stéréotypes, depuis des années les femmes souffrent d'être vues assez fortes et intelligentes sur le plan du travail. Sur ce il est difficile pour elles d'en trouver ...Selon Benveniste soleilhavoup (1994), Une femme qui est en chef d'un foyer peut évaluer ses activités par rapport àson âge,combien d'enfants elle a et de l'âge de ses enfants. Le government ne leur rend pas la tâche aussi facile, au lieu d'essayer d'améliorer les lois envers les femmes, il les empire. Ontario par exemple, a reduit l'équité en matière d'emploi. C'est beaucoup plus difficile de trouver et retenir un travail stable et avec de bon bénéfices. C'est pourquoi les travaux temporaire et saisonnier s'agrandissent énormément.Ces travaux n'offrent pas de bénéfices en quoi ce soit. Et même parfois si elles ont la chance d'être dans un travail plus au moins stable, parfois elles n’ont pas de gardes pour leurs enfants. Ces derniers fait aussi partie de leurs obstacle car il est difficile de disposer d’un service de garde, de trouver une gardienne ou encore d’en payer une, en plus des multiples tâches en