Les gaz et la première guerre mondiale
L’auteur Tim Cook dans son intitulé « Mourir comme dans un piège à rats » La guerre des gaz et le soldat de la Grande Guerre, évalue le rôle des gaz toxiques durant la Première Guerre mondiale en faisant référence parfois à des scènes du film de 1969 de Richard Attenborough, Ah! Que la guerre est jolie! Il mettra en évidence les désastres et désolations causé aux soldats par cette arme chimique inventé des scientifiques allemands et accueillit comme étant immorale au sein des troupes militaires mais que l’utilisation deviendra par la suite monnaie courante.
Il est difficile de rester indifférent aux propos écrits par l’auteur. Il réussira très bien à nous faire ressentir l’ambiance sinistre sur les champs de bataille de l’époque. Contrairement aux autres auteurs, Tim Cook nous fera mieux comprendre que malgré le fait qu’il eut été difficile de déterminer les répercussions du gaz, il ne faudrait surtout ne pas en minimiser les impacts : « Le rôle le plus efficace du gaz toxique, sur le champ de bataille, a été de perturber les soldats (…) tant sur le plan mental que physique. »¹ Les gaz n’ont peut-être pas été, en termes de compilation, les plus meurtrières comparativement aux armes conventionnelles, mais ont déstabilisés, perturbés les communications, semés la peur et ont réduits les habilitées à combattre des soldats. Le port d’un masque à gaz devenait démoralisant et encombrant et plus souvent une façon de redonner confiance aux soldats. Les soldats devaient maintenant recevoir une formation adéquate, formation donnée par un service anti-gaz pour enseigner spécialement les mesures à suivre pour identifier les gaz, leurs effets et comment se protéger contre les conséquences : « Les masques à gaz n’étaient pas, contrairement à ce que certains historiens ont prétendu, la solution à la guerre des gaz. » ¹ Je me permets de me poser la question suivante : Pourquoi y avait-il pour seule protection qu’un mince masque en tissu à base de