L’Europe, une terre de mobilité

La mobilité est une forme de mouvement qui s’exprime par le changement de position, ces mobilités s’expriment le long d’axe de communication constituant ainsi des flux de mobilités en Europe. L’Europe est un continent, maintenant représenté par l’union Européenne qui est un projet d’union économique et politique entre les pays du continent. Cette Europe est aujourd’hui une terre de mobilités. Comment et par quels facteurs l’Europe peut-elle être qualifié comme d’une terre de mobilité et quels sont les limites de ces mobilités ? Le sujet sera abordé dans un premier temps par l’étude de l’Europe, est-elle un carrefour de mobilité ou une forteresse ? Puis la réflexion se portera sur l’exemple Français, qui représentera l’expression de la dynamique spatiale des territoires, et, pour finir, le sujet abordera les limites de ces mobilités.

L’Europe est, depuis l’antiquité, une terre d’immigration, jusqu’à la période des grandes découvertes au XVIème Siècle ou il y eu une réel inversion. Le second tournant de l’immigration en Europe est apparu au XXème Siècle, suivant la seconde guerre mondiale dans les années 1950. Depuis cette époque les facteurs expliquant les nouveaux flux de migrations ont évolué. Des années 1950 à 1970 les pays Européen ont eu une réel nécessité de main d’œuvre, appelant ainsi des immigré d’Europe de l’Est, des colonies ou d’autres foyers d’immigrations. Durant les années 1980 le principal facteur d’immigration fut les regroupements familiaux, en effet les appels de main d’œuvre fait pendant les années 1950, 1960 et 1970 ne faisaient venir que des hommes, et dans les années 1980 leurs familles les rejoignaient. De 1990 à nos jours, les flux migratoire ont été différents, tout d’abord les réfugiés politiques ont fait leurs apparitions, de plus les nouvelles infrastructures de transport et les réseaux de communications ont favorisés d’autres flux migratoire tel que le tourisme. L’Union Européenne est un espace