Les propietaires blancs et les propietaires affranchis.
* Presentation des interets economique des propietaires affanchis et des propietaires blancs.
* Interets social et politique.
* Raison de cette mesentente.
Pour lever toute equivoque, les affranchis écrivent une lettre a L'Assemblee afin d'avoir un eclairecissement, ce qui détermine l'assemblee a promulguer les instructions du 28mars relatives a l'application de la loi de huit.
L'article quatre stipule "toute personne agée de vingt cinq ans accomplis proprietaires d'imeubles, ou a defaut d'une telle propieté, domicidée dans la paroisse depuis deux ans et payant une contribution, seule est apte a participer aux Assemblées paroissiales"
Dans une lettre de 1856 à sa femme Mary Lee Custis, Robert E. Lee a appelé l'esclavage "un mal moral et politique." Pourtant, il a conclu que les esclaves noirs étaient infiniment mieux ici qu'en Afrique, moralement, socialement et physiquement. Le fait est que un grand nombre de Noirs libres possédaient des esclaves noirs, en fait, en nombre disproportionné par rapport à leur représentation dans la société en général. En 1860, seule une petite minorité de blancs possédaient des esclaves. Selon le rapport du recensement des États-Unis pour cette dernière année avant la guerre civile, il y avait près de 27 millions de Blancs dans le pays. Quelque huit millions d'entre eux vivaient dans les Etats esclavagistes. T il recensement a également déterminé qu'il y avait moins de 385.000 personnes qui possédaient des esclaves (1). Même si tous les propriétaires d'esclaves avaient été blancs, qui ne représente que 1,4 pour cent des Blancs dans le pays (ou de 4,8 pour cent des Blancs du Sud possède un ou plusieurs esclaves). Dans les rares cas où la propriété des esclaves par des Noirs libres est reconnu dans les livres d'histoire, des centres de la justification de la demande que les maîtres d'esclaves noirs étaient tout simplement des personnes qui