Les questions que les hommes détestent
C'est le piège par excellence. Car soit il joue la carte de la franchise (« Oui, ma chérie, on dirait bien que tu as pris des fesses ») et il a le droit à une tête d'enterrement pendant une semaine. Soit il vous assure que non, non, vous n'avez pas changé d'un iota et vous êtes alors persuadée qu'il vous ment.
2. Tu la trouves comment, la blonde d'à côté ?
Même problématique que la question précédente. Ou il vous dit que ce que vous avez envie d'entendre, à savoir qu'elle n'a vraiment rien de spécial. Et vous ne le croyez pas une seconde. Où il vous avoue qu'elle est un peu/ beaucoup/ passionnément à son goût et vous lui envoyez votre café brûlant à la figure.
3. A quoi tu penses ?
Pour ce grand indépendant, pour ne pas dire cet ours solitaire, le fait d'accepter de partager un appartement a été une immense concession. Maintenant, quand il part, il doit vous dire où il va et quand il revient. Alors, s'il doit, en plus, vous rendre des comptes sur ses voyages intérieurs, il risque de se sentir rapidement oppressé. Inutile de lui poser donc cette question, d'autant que la plupart du temps, sous son air abordé, il ne pense... à rien !
4. Je peux goûter ton plat ?
Mesdames, Mesdemoiselles, assumez vos (vraies) envies gourmandes. Inutile de commander une étuvée de fenouil à la vapeur si c'est pour loucher sur ses lasagnes bolognaises + frites toute la soirée. D'autant que s'il a commandé ce plat, c'est qu'il a bien l'intention de la manger jusqu'à la dernière bouchée. Moralité : pas touche !
5. Il est en mieux en anthracite ou en ardoise, ce pull ?
Interminables, vos virées shopping l'insupportent au point qu'il préférerait, à tout prendre, aller chez le dentiste pour se faire extraire une molaire... Mais si en plus vous lui posez des questions absconses (pour lui, les deux sont gris, tout comme le souris ou le perle. Il ne voit pas la différence !), il pourrait avoir l'envie de démissionner sur