Fin novembre jusqu’à décembreLes paradoxes de la connaissance de soiLe fait qu’on soit le sujet et en même temps l’objet fait qu’on n’a pas la distance recommandée. Il n’y a pas de science possible de l’individu. Toute science est science du général, car dans la science cad le fond de la connaissance, ce qu’il s’agit de faire est d’établir les caractéristiques spécifiques mais partagées par une même réalité.Par exemple, si on veut savoir ce qu’est le vivant, on se dit qu’il se caractérise par l’autonomie. …afficher plus de contenu…

Merleau-Ponty, Phénoménologie de la perceptionLe corps est le ‘’noyau significatif’’C’est un élément vital déterminant sans quoi il n’y a pas de …afficher plus de contenu…

Si le ‘’ça’’ est d’origine pulsionnelle, la pulsion va tendre à s’exprimer. Cela veut dire qu’elle va s’exprimer indirectement. Cette sublimation va être le passage de l’expression culturelle de la pulsion.Cela pourrait expliquer tous les phénomènes culturels comme l’art, le droit, les sciences, la religion.Une pulsion est ce qui nous pousse a agir, c’est un équivalent du désir. Cela voudrait dire que l’identité du sujet que je suis est une identité désirante. On comprend là que l’identité individuelle est désirante. Je suis un être de désir, puisqu’il y a en moi des pulsions. Mais cet être que je suis est travaillé par l’interdit puisqu’ill ne s’exprime pas directement. Ce que je suis est aussi lié à la dimension de violence que l’on a en nous-même. L’éducation produit des interdits. Une éducation dans laquelle est interdits sont intériorisés est réussie. La double dimension de l’identité produit de l’identité