Les réseaux sociaux et leurs impacts psychologie
Pour l’image corporelle, le questionnaire concerne la comparaison de leur apparence à celle des autres utilisateurs des réseaux sociaux. En ce qui a trait de l’estime de soi, les participants devaient indiquer son niveau d’accord sur l’affirmation suivante : J’ai une bonne estime de moi-même. Afin de mesurer leur dépendance aux réseaux sociaux, l’étudiante en psychologie a rédigé un questionnaire maison basé sur plusieurs recensés scientifiques et non scientifiques. Pour l’hypersexualisation, un questionnaire de 2012 a été choisi. Troisièmement, le déroulement a été fait en ligne avec un logiciel nommé FluidSurveys. Les participants devaient se rendre sur ce logiciel pour remplir la feuille de consentement et le questionnaire fait par l’étudiante. Pour faciliter la propagande, Mlle. Giroux a publié un lien sur Facebook et a mis des affiches dans les écoles de Trois-Rivières (secondaire, cégep et université). Parmi tous les répondants, seulement …afficher plus de contenu…
Il aurait une corrélation négative entre la dépendance aux réseaux sociaux et l’estime de soi, mais, une corrélation positive sur l’insatisfaction corporelle. Pour finir, son analyse finale se résume à une insatisfaction corporelle moyenne, les étudiant disent être un peu en accord avec l’affirmation de l’estime de soi, contenu de leurs changements physiques, c’est un résultat normal. Mais, l’écart-type est grand pour l’estime de soi, ce qui veut dire qu’elle se fragilise avec le temps. Finalement, elle termine sa mémoire en mentionnant que les réseaux sociaux et un manque d’estime de soi, d’insatisfaction corporelle sont rendus très présents dans le quotidien des jeunes et que des études plus pousser serait à faire pour mieux comprendre le