Introduction
1-La libre concurrence.

Elle désigne l’ensemble des règles
Le principe de la libre concurrence : Dans une économie libérale, la liberté de la concurrence est fondamentale. L’idée essentielle qui anime cette théorie il est que , en se concurrençant , les entreprise devraient fournir le meilleur produits au meilleurs prix.
La libre concurrence est ainsi considéré comme bénéfique pour l’économie : instrument d’une politique anti-inflationniste, la libre concurrence est surtout considéré comme bénéfique pour les consommateurs, parce qu’elle est sensée conduire au prix les plus bas.
D’autre part, elle stimule les entreprises par la concurrence, les oblige au dynamisme.
Caractère pragmatique de ce principe : Si dans la conception puriste de l’économie libérale, la libre concurrence apparaît comme la forme idéale de l’organisation de l’économie, il est cependant nécessaire de constater que la concurrence porte en elle sa propre description. L’expérience révèle en effet que de nombreuses entreprises, au lieu de se livrer à une véritable lutte concurrentiel préfère s’entendre, et par des principes concertés, s’efforcent d’éliminer tous les autres concurrents, de façon a se partager ensuite le marché. D’autre fois, par des mécanisme divers, elle parviennent a détenir une position dominante sur le marché, se qui a pour effet de ruiner les chances des autre d’y accéder.
Si donc la concurrence est libre, il est nécessaire d’éviter qu’elle ne devienne nuisible. Dans la conception qui est celle du droit français et du droit européen de la concurrence, on note qu’il ne s’agit pas de faire de la libre concurrence, une fin en sois, quelque soit la situation particulière d’un marché, en interdisant tout comportement anticoncurrentiel. La conception pragmatique du principe amène en effet à considéré que certaine opération (par exemple les ententes entre entreprises), certains comportements privé ou public (ex : les aides d’Etats aux entreprises), bien