Lettre à la jeunesse de zola 1ère l étude linéaire développée
I) Zola, un orateur convainquant.
A. Forces du discours.
Ligne 1 : « ô jeunesse, jeunesse ! » apostrophe, répétition du mot jeunesse . Zola interpelle la jeunesse.
Ligne 1 : « je t’en supplie ». Zola implore, accentue sa demande après l’apostrophe.
Ligne 8-9 : « tu dois » : exprime l’obligation.
Ligne 9-10 : « « nous ne demandons que ». Nous demandons en revient à je t’en supplie, Zola attend beaucoup de la jeunesse.
Ligne 16 : « si nous savons que tu continues » le mot si conditionne la jeunesse à suivre le pas de ses ancêtres pour leur mort sereine.
Ligne 17, 27 et 39 : « Jeunesse, jeunesse ! » apostrophe, interpellation exclamative, qualité oratoire.
Ligne 27 : « Jeunesse jeunesse ! » même procédé que ligne 17.
Ligne 29 à ligne 31 : concession.
Ligne 44 : « toi, toi » anaphore et apostrophe.
B. La rhétorique et ses accusations.
Ligne 33-34 : « N’est-ce donc pas là une aventure qui doive soulever ton enflammée passion du droit ? » : Question rhétorique. A travers cette question rhétorique Zola accuse la jeunesse de ne pas assez se soucier de la justice, il veut que la jeunesse laisse parler son cœur à travers les problèmes de société qui l’entoure. A travers la question rhétorique, qui est un fort procédé oratoire il les pousse à réfléchir sans pour autant se montrer péjoratif.
Ligne 35 à 40 : « Qui se lèvera pour exiger que justice soit faire, si ce n’est toi qui n’es pas dans nos luttes d’intérêts et de personnes, qui n’es encore engagée ni comprise dans aucune affaire louche, qui peux parler haut en toute pureté et bonne foi ? » Question rhétorique. A travers Zola exprime l’idée que la jeunesse est au seuil de sa vie, n’a aucun acte déplorable derrière lui « aucune affaire louche » . Zola exprime aussi l’idée de liberté : « qui peut parler haut » . Et également à la religion : « toute pureté et bonne foi ».
Ligne 45-47 : « Comment ne fais-tu pas ce rêve chevaleresque, s’il est quelque part un