lettre
La politique française en matière de développement durable implique, notamment, le choix de modes de transport et des pratiques de mobilité plus économes en énergie et respectant l’environnement. Elle concerne le transport des personnes et celui du fret :
– pour le transport des personnes, il faut distinguer :
• le transport individuel : l’État encourage les véhicules à énergie renouvelable par des aides à l’achat de véhicules électriques (ce point est développé dans la partie IV).
• le transport collectif : la volonté de développer ce mode de déplacement au dépens du transport individuel s’accompagne du choix de véhicules moins polluants (tramway, trains…) ;
– pour le fret, la France cherche à augmenter la part du transport ferroviaire et fluvial, afin de réduire la part du transport routier qui est en augmentation.
II - La réduction des externalités négatives par les voitures électriques
L’utilisation de véhicules électriques permet de réduire certaines externalités négatives, en particulier celles qui touchent la vie urbaine. Les moteurs à explosion qui équipent les véhicules actuels sont porteurs d’externalités négatives telles que la pollution atmosphérique, le bruit et le rejet de gaz carbonique, qui contribue au changement climatique.
III – Conséquence du développement de la voiture électrique sur le secteur de l'énergie
Le développement de la voiture électrique peut favoriser celui des énergies renouvelables. L’électricité nécessaire pourrait être produite par des sources renouvelables, ce qui réduirait le recours au secteur pétrolier. Les sources d’énergie durable sont liées au développement de la production d’électricité éolienne, solaire (panneaux photovoltaïques) et géothermique.
IV – L'aide de l'État à l'acquisition de véhicules électriques
Les aides de l’État à l’acquisition de véhicules électriques sont justifiées sur les plans